Pour ajouter au drame, c’était le
2 novembre, le jour des morts …
Mystère ! Pouf était
introuvable. Ni dedans ni dehors. Deux
jours, deux nuits de tranquillité pour les occupants de la maison qui pouvaient se déplacer sans
crainte de chuter à cause de mes intrusions dans les jambes et le patron de
taper tranquillement sur son ordi ( je me rattrape depuis, j’ai sauté dix fois
sur le bureau pour douze lignes écrites). Je m’étais fait voir une dernière
fois en compagnie de Zigounette que j’avais coursée jusque chez elle. Puis plus
rien, pas de visite à la gamelle.
Figurez vous que Maloum avait
fait des invitations. Jean Phi et ses femmes (Cordula et Marie Jo), ce n’est
pas rien. Au menu, coucous poulet dans les règles de l’art, obligatoire. Horreur, il manquait des oignons.
Heureusement, Bernadette, à distance, sauve la situation en lui proposant les
siens situés dans les toilettes. Sans hésiter, il y court. MAIS, je le suis et me
retrouve enfermé sans que mes miaulements plaintifs n’éveillent l’attention de
qui que ce soit.
L’orage de cette nuit, la
tempête, les fuites d’eau du toit sur le lit du patron m’ont délivré en
poussant ce dernier à intervenir en passant par chez Bernadette.
Evidemment, je ne suis pas un saint et j’ai du satisfaire certains besoins en laissant un petit souvenir sur le lit de cette dernière…
Le journal de Pouf (clic)
Evidemment, je ne suis pas un saint et j’ai du satisfaire certains besoins en laissant un petit souvenir sur le lit de cette dernière…
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