Au cours d’un break parisien et un tour en Normandie
raté alors que le Clos Pierrot m’attendait, j’ai pu, fin juin avec Bérangère,
voir Lou qui grandit à toute allure.
J’ai repris, ici, la maison en mains. Bernadette
s’était mise en quatre pour tenter de faire face mais la piscine était bien
sale. Le jardin est vert encore à cette époque, deux heures le soir sont
nécessaires pour arroser et entretenir mais je dois demander de l’aide ponctuellement
pour tailler et composter. Si les nèfles, les abricots, les prunes, les figues
se succèdent à profusion, les pies ont mangé les cerises et le raisin n’est pas
beau. Pour tenter de maintenir la forme, je m’accroche à la salutation au
soleil du matin après quelques brasses rapides dans la piscine qui est
particulièrement bleu après le coup de peinture blanche de Chloé en juin
dernier.
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