Quoi de plus banal que de
décéder ? Ça nous arrive à tous au moins une fois dans notre vie.
Georges était de ma
promotion de cousinage (35-36) ; nous faisions de bonnes parties dans le
jardin de la rue Pasteur à Joinville, (photo du grand père Georges avec ses 10 petits enfants en 1940, le cousin Georges est à gauche de ses genoux )la vie nous a séparé ensuite, déjà Jean Jacques L. nous avait quitté en 2005. À croire que notre tour se rapproche.
Nous sommes allés, avec
Thérèse, voir
Georges à l’hôpital en novembre dernier. Il n’était pas très en forme, ses
poumons étaient très abîmés par un ancien tabagisme dangereux mais il semblait
narguer le mauvais sort en plaisantant.
Très gentil, cherchant à faire plaisir, il a du être une charge dans ses derniers moments pour faire gagner le ciel à Marie Claude et son entourage. Mais comment a-t-il
vécu au fond de lui même ? Nous l’aimions bien, c’est le principal.