« On ne dit pas du mal des
morts » Horovitz

C’est la pièce que nous ont jouée
Colette, une bonne voix et beaucoup de talent et ses deux partenaires, sans
trop d’éclat pour leur part, en ce lundi de Pentecôte à Cabriès. Notre vedette
s’y est investie ! Que d’heures pour mémoriser un texte qu’elle ne doit
pas déformer, que de déplacements sur les lieux pour répéter ! Elle s’est
passionnée et le résultat était au rendez vous. Bernadette a trouvé la mise en
scène un peu élémentaire et le texte très américain, sans beaucoup de valeur
littéraire. Pour ma part, j’étais trop occupé à comprendre et suivre le fil de
l’histoire pour prendre suffisamment de hauteur et apprécier ces nuances. J’ai
admiré le résultat.

Je citerais opportunément ce
appréciation du théâtre de la part de Christiane une de mes correspondantes qui
y trouve beaucoup de bienfaits : « Le théâtre est un art très
exigeant, pas évident, il faut apprendre par cœur, s'approprier le personnage,
oser le jouer sans peur d’être vu ou critiqué, écouter l'autre, tenir sa place
dans le groupe, s’investir dans le collectif. »
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